Au sein d’un organisme, le formateur en Sauvetage Secourisme du Travail (SST) dispense une formation aux salariés. Cela atteint à la fois les domaines du secours et de la prévention. L’exercice du métier requiert un parcours adéquat à la filière. Pour devenir formateur SST en ligne, le candidat doit suivre un cursus particulier.

Formation formateur SST, pour qui ?                                    

La formation formateur sst intéresse plusieurs personnes. Elle a de nombreux enjeux, dont la démonstration de l’intérêt du cursus pour les sociétés en termes de secours et de prévention. Le parcours permet l’acquisition de capacités techniques et pédagogiques à transmettre au personnel de l’entreprise.

Le déploiement de la formation permet aux entreprises de former bon nombre de salariés. Les postulants doivent disposer d’un certificat SST valide et avoir validé des compétences de base en matière de prévention des risques professionnels. Le cursus est proposé en autoformation en ligne et en formation en présentiel. Trouvez plus d’informations sur pulsart-groupe.com.

Le programme s’adresse aux sauveteurs secouristes du travail souhaitant devenir formateurs SST pour former des SST. Les candidats peuvent exercer au sein de leur propre entreprise ou dans une enseigne cliente d’un organisme de formation. La formation est dispensée par un formateur de formateurs certifié. Le professionnel doit appartenir à une structure habilitée par le même réseau. En tout cas, ce dernier n’assure ni le recyclage ni la formation du formateur SST.

Objectifs et contenu de la formation

La Formation formateur SST est proposée suivant une pédagogie et ingénierie associée à la prévention. Le formateur utilise une méthodologie de projet de formation efficace. Les candidats peuvent s’approprier du document de référence. Celle-ci fait référence à la conduite des apprentissages pédagogiques liés à la formation SST et à l’évaluation. Hormis les supports, les enseignants adoptent des méthodes pédagogiques diversifiées comme les exposés-débats, les travaux en sous-groupes et la simulation de situations pédagogiques.

Après le programme, si les impétrants réussissent les exigences des examens certificatifs, l’Assurance Maladie Risques Professionnels et l’INRS attestent un certificat de « formateur SST ». Celui-ci est valable pendant 36 mois. Cependant, pour conserver sa validité, la certification impose au titulaire la participation à une formation MAC d’une durée de 21 heures. Les Formations MAC et initiales sont dispensées par un formateur certifié appartenant à une enseigne ou un établissement de formation habilité par l’INRS et l’Assurance Maladie Risques Professionnels.

Les compétences acquises après le cursus

Le formateur SST peut travailler pour son propre compte ou celui d’une entreprise. Cette dernière a souvent recours à ce spécialiste lorsqu’elle souhaite déployer une culture de la prévention des risques professionnels en donnant des qualifications internes au profit de la maîtrise des risques tout en disposant des aptitudes à protéger une victime d’un accident du travail.

Le formateur peut être le référent sécurité ou l’accompagnateur du référent de sécurité. Il est tenu de développer la technique de lutte contre les incidents du travail et de gestion des risques. Le professionnel participe activement à la définition de l’organisation des secours dans la structure. Les candidats qui bénéficient de la formation peuvent reconnaître les situations dangereuses au quotidien. Ils remontent les informations au référent.

Ce dernier identifie les mesures préventives nécessaires et ordonne leur mise en œuvre. Assurant un important rôle au sein d’une entreprise, le formateur développe les compétences des acteurs SST qui contribuent à l’organisation des secours, à l’optimisation des conditions de travail et à la prise en charge des victimes d’accident de travail.

Devenir formateur SST

Pour mener à bien ses missions, le formateur SST doit remplir certaines qualifications, dont la maîtrise des contenus techniques des deux niveaux de compétences de l’acteur SST. Il confirme sa participation à la prévention des risques professionnels au sein de son entreprise. Le professionnel intervient en cas d’accident du travail. Il doit être en mesure de démontrer l’intérêt de la formation action SST pour l’organisme. Le formateur doit avoir la capacité de gérer et d’animer le programme en adoptant les outils et méthodes pédagogiques ajustées aux profils des stagiaires ainsi qu’aux particularités de la structure.

Grâce à ses qualifications, le formateur SST peut assister l’entreprise dans le déploiement de sa politique de maîtrise des risques. À la suite d’un travail complémentaire, il sera en mesure d’accompagner l’organisme dans l’élaboration et la mise à jour du dossier unique, l’application de l’articulation du dispositif de remontées d’informations et le dressage du plan d’action de développement de la stratégie de prévention.

Reconnu et certifié comme formateur pour adultes, le professionnel peut organiser une formation et concevoir un déroulé pédagogique. Plusieurs formateurs en prévention des risques choisissent d’être indépendants ou d’accomplir des missions ponctuelles dans un établissement de formation habilité par l’INRS. La formation formateur SST comporte deux modules de 4 jours, soit une durée totale de 8 jours. Il existe des centres de formation habilité par l’INRS. Ces établissements peuvent proposer des formations de formateurs et attribuer un certificat valide pendant 36 mois.

Ces dernières années, le terme « mobbing » est devenu de plus en plus populaire dans les médias. Il désigne les personnes qui ont été victimes d’intimidation ou d’éviction au travail à une telle échelle et pendant une si longue période de la part de leurs collègues ou de leurs supérieurs qu’elles démissionnent, tombent malades ou envisagent même le suicide comme seule issue à leur malheur.

Qu’est-ce que le harcèlement moral ou le harcèlement sur le lieu de travail ?

Le terme « mobbing » est dérivé de la langue anglaise et désigne le fait d' »attaquer » ou de « harceler » quelqu’un. Le harcèlement sur le lieu de travail est décrit par la Société contre le stress psychosocial et le mobbing comme étant le cas lorsque la personne harcelée se sent dépassée. Sur une longue période, elle est constamment agressée, directement ou indirectement, par un ou plusieurs autres individus. Le but ou le résultat de ces attaques est que cette personne soit éjectée. La victime de l’incident perçoit l’attaque comme un préjudice. Dans la plupart des entreprises, il y avait déjà des brimades ou du harcèlement au travail entre collègues ou entre superviseurs et employés. Les brimades, en revanche, ont un aspect distinct qui est considérablement plus dangereux que le simple harcèlement. Il s’agit d’une méthode de meurtre qui vise à épuiser et à affaiblir un employé. La croissance rapide de ce phénomène peut être attribuée à une augmentation de l’agressivité et de la dureté de la société. À cela s’ajoute la pression accrue pour réussir sur le lieu de travail en raison de l’augmentation du chômage. Tous ces facteurs peuvent expliquer pourquoi un nombre croissant d’employés tentent de compenser leurs soucis et leurs frustrations au travail en taquinant et en humiliant des collègues apparemment moins bons. Il peut également s’agir d’une stratégie de survie consistant à essayer de pousser les autres à démissionner afin de pouvoir conserver leur emploi.

Comment reconnaître un cas de harcèlement moral au travail ?

Un cas de mobbing se présente du point de vue de la santé au travail si une personne est agressée et harcelée par une ou plusieurs personnes sur le lieu de travail par des comportements particuliers au maximum une fois par semaine pendant au moins six mois. Lorsque la personne entre dans la pièce, cela peut prendre la forme de remarques insultantes, de moqueries ou simplement d’un silence glacial. Les brimades séparent et détruisent les individus sur le lieu de travail à un niveau psychologique. Ils sont souvent épuisés physiquement et mentalement en raison du stress social important auquel ils sont soumis. La victime d’un tel tourment psychologique s’effondre généralement intellectuellement et, le plus souvent, physiquement dans les six mois. Le harcèlement rend les gens malades, sans aucun doute.

Quelles sont les ressources disponibles pour les personnes harcelées ?

Enfin, il est important pour toute personne victime de brimades de ne pas refouler ses sentiments. Au lieu de s’isoler de son entourage, confiez-vous à vos amis ou à votre famille. Parce que le harcèlement est un problème social majeur qui a également un impact économique important, il doit être traité avant tout dans et par les entreprises. En tant que personne touchée, la meilleure façon d’aider est de porter le problème à l’attention de l’entreprise. Vous pourriez faire en sorte que le sujet du harcèlement moral soit abordé dans les réunions de la société. Une autre option consiste à utiliser des accords d’entreprise ou de département pour lutter contre le harcèlement moral. Ce type de contrat devrait inclure des recommandations à l’intention de tous les travailleurs sur la manière d’agir de manière appropriée en tant que victimes ou témoins de situations de harcèlement. Bien entendu, des sanctions appropriées doivent aussi être prévues à l’encontre des harceleurs, tels qu’une réprimande, un avertissement et éventuellement un licenciement. La mise en place d’heures de consultation sur le harcèlement moral avec une personne de contact professionnellement formée au sein de l’entreprise, auprès de laquelle les personnes concernées peuvent demander conseil et assistance, serait ainsi une bonne idée. En outre, la médiation peut être utilisée pour tenter de résoudre les désaccords entre les travailleurs.

Certains secteurs de travail exigent des tenues spécifiques, allant du design à la sécurité. En effet, il y a des professions dont les risques d’incidents de travail sont plus élevés que les autres. Voilà pourquoi la loi impose le port de vêtements, de chaussures et d’accessoires qui respectent les normes en vigueur.

Comment pouvez-vous bien choisir vos vêtements de sécurité?

Il est important de porter des vêtements de travail durables et résistants. C’est un moyen de réaliser ses tâches comme il se doit. Quel que soit le domaine d’exercice de l’entreprise, la durabilité des équipements et des vêtements est un critère de choix essentiel. Bien évidemment, il faut les entretenir pour allonger leur durée de vie. Ils doivent résister à diverses agressions, surtout les accros. Chaque vêtement de travail est à découvrir le site de Col Bleu. De plus, ils sont personnalisables. Pour les travaux de nuit, le port de vêtements à haute visibilité est fortement recommandé. Les conducteurs de véhicules à moteurs en ont besoin pour éviter toutes sortes d’accidents.

Le choix de la matière de fabrication ou du tissu est aussi un point indispensable. Pour les pompiers, par exemple, les tissus inflammables ne sont pas pratiques. Il leur faut des vêtements de sécurité résistants au feu et aux autres agressions du métier. Il peut s’agir de la chaleur ou de l’eau. Le nombre de poches est aussi à vérifier en fonction du poste occupé. Certains d’entre eux requièrent plus de poches pour y insérer les accessoires utilisés pour le métier. Pour tester le confort d’un vêtement de sécurité, n’oubliez pas de vérifier l’aisance de mouvements. S’il est trop rigide, il serait compliqué de bouger dedans. Si vous travaillez dans le grand froid, vous pouvez choisir des vêtements de sécurité adaptés. Tout dépend de votre activité.

Les avantages de porter des vêtements de sécurité

La sécurité du travailleur est une priorité, notamment dans les domaines dangereux comme les chantiers. Les agents de sécurité et les pompiers exercent aussi des missions à risque. Les vêtements de sécurité permettent de se protéger. Lorsque les pompiers combattent les feux d’un incendie, les combinaisons qu’ils portent supportent la chaleur. Ils ne craignent pas de se brûler facilement. Pour les agents de sécurité, ce sont surtout les accessoires qui les aident à travailler en sécurité. Les employés d’une entreprise de construction ne risquent pas de glisser avec une chaussure de sécurité.

Les risques d’accidents sont réduits lorsque l’employé porte ce genre de vêtement. Ils sont également pratiques. L’électricien a lui aussi besoin de s’équiper pour réaliser ses tâches. En plus d’être sécuritaires, les vêtements de sécurité sont confortables et ergonomiques. Les dimensions et la matière de fabrication de la tenue sont sélectionnées avec le plus grand soin pour assurer leur confort.

Pourquoi doit-on acheter des vêtements de sécurité en ligne?

La majorité des achats se fait en ligne de nos jours. C’est une question de praticité. Le consommateur n’a plus à se déplacer pour avoir ce dont il a besoin. Il peut recevoir sa chaussure de travail directement chez lui ou dans un point relais. La qualité dépend de la marque mais c’est un critère très important. Elle assure en fait la résistance et la durabilité du produit. En ligne, il est possible de lire les expériences d’achat des autres clients. Vous pouvez choisir le vendeur à partir des avis laissés par les précédents consommateurs. C’est aussi à travers les avis clients que la qualité du service est vérifiable à l’avance. Vous avez un large choix de vendeurs et de produits sur internet. Il est tout à fait possible de trouver le meilleur prix après avoir effectué des comparaisons. Les remises sont fréquentes à cause de la grande concurrence.

La santé et sécurité au travail rassemble différentes disciplines afin de limiter ou supprimer différents effets nocifs au travail qui peuvent atteindre les travailleurs. En effet, il s’agit d’une mesure de protection et prévention des salariés exposés à différents risques professionnels qui peuvent altérer leur intégrité physique et morale et influer négativement sur les conditions de travail, l’hygiène et la performance et la productivité en entreprise.

Les raisons d’être de la mise en place de la santé et sécurité au travail

L’objectif étant de garantir la qualité de vie en milieu de travail et couvrir les dommages qui peuvent engager la responsabilité civile ou pénale de l’employeur. Puis, cela réduit le coût des soins sanitaires, diminue le nombre de travailleurs qui doivent réduire leurs heures de travail au lieu de s’occuper de sa famille, améliore la culture en entreprise, améliore la réputation et la notoriété de l’entreprise, conserve le poste et recrutement du personnel, maintien les salariés âgés au travail, promeut l’empli de technologie et techniques de travail efficaces, lutte contre la pandémie covid et autres formes d’épidémies chroniques, réduit l’absentéisme et garantit le bien-être en général. Pour en savoir davantage, veuillez suivre ce lien professionnel protection-sante-securite.com.

Comprendre les différents risques professionnels qui peuvent nuire à la santé et la sécurité au travail.

Il existe différents types de risques professionnels qui peuvent impacter sur la santé et sécurité des travailleurs.

Comme les risques liés aux activités physiques, du fait de sa répétition, peuvent causer des TMS. Par contre, les risques biologiques émanent souvent des contacts répétés avec différentes personnes ou matières animales ou ont été acquis par des épidémies chroniques. Puis, les risques d’ordre chimique proviennent de l’environnement professionnel. Aussi, les risques d’explosion et incendie résultent souvent de la qualité des installations matérielles ou physiques ou chimiques. De plus, les risques physiques sont souvent issus des bruits ou vibrations ou températures ou chutes ou cisaillements ou écrasements ou tout autre mouvement mécanique.  Par la suite, les risques technologiques peuvent se manifester suite à sa mauvaise utilisation ou de sa défaillance technique. En outre, les risques psychosociaux sont caractérisés par l’addiction, l’épuisement au travail, le harcèlement moral ou sexuel, le stress, voire la violence professionnelle.

Découvrir les différentes mesures de prévention prises pour maintenir la santé et sécurité au travail

Il est de l’obligation de l’employeur (privé ou des EPIC ou des EPA ou des EPSSM) de souscrire à une assurance santé ou sécurité sociale ou grâce à l’intervention de la médecine du travail pour couvrir les dommages (tels que l’accident au travail ou la maladie professionnelle ou autre) liés à la santé et sécurité au travail au risque d’engager sa responsabilité civile ou pénale. Puis, le salarié, pour un motif raisonnable et sous certaines conditions, peut disposer d’un droit d’alerter ou retirer, voire de refuser le travail face à une situation dangereuse. Il faut également ajouter que ce dernier peut bénéficier d’un plan SST pour garantir l’exécution des travaux de nuit ou des risques de chute, des actions d’information ainsi que de la mise en place d’organisation et dispositifs adaptés pour limiter les risques d’accident…

Par ailleurs, ces mesures de prévention doivent correspondre aux principes généraux prévus dans le code de travail et les conventions internationales (OIT, DUER, etc.). À savoir l’évitement et l’évaluation des risques inévitables, l’adaptation au travail de l’homme, la considération de l’état de l’évolution de la technique, la prévention des risques à la source, le remplacement des risques dangereux par ceux moindres, la planification de la prévention, le partage des instructions appropriées aux salariés et la prise de mesure de prévention collective et individuelle.  Enfin, il existe différentes cursus de formations dédiés aux différents acteurs publics et privés sujets de la sécurité et santé au travail.  

Risque professionnel

Le risque professionnel se trouve au niveau des employés, car leur santé peut être très fragile sous la forme d’un accident ou d’une maladie. Les dirigeants de l’entreprise doivent supprimer ou réduire ces risques en prenant les précautions nécessaires. Développer une politique de bonheur au travail permet de diminuer les risques psychosociaux et d’agir sur l’environnement des équipes et la motivation au travail. Présentez des approches du bonheur selon la taille de l’entreprise.

Préventions 

Conformément au droit français et européen, l’obligation générale de préventions des risques professionnels incombe à l’employeur, qui doit prendre toutes les dispositions nécessaires pour protéger la sécurité et la santé du travailleur au lieu de travail. Par conséquent, le chef d’entreprise doit estimer et modifier les risques professionnels pour l’exploitation de l’activité. De plus, les dirigeants d’entreprise ont l’obligation de donner une formation sur la santé des salariés et de sensibiliser aux risques professionnels durant leur contrat de travail. Avec l’émergence du document de couverture unique, les collectivités locales ont dû engager une réflexion pour gérer et prévenir les risques professionnels. Mais il reste encore un long chemin à parcourir pour parvenir à une politique unifiée et volontariste dans ce domaine. Cependant, un défi important est pour le personnel de service, qui est parmi le plus exposé à ces problèmes. En ce qui concerne la santé des salariés, il est recommandé de veiller aux différentes dispositions et aux règles prises par l’entreprise. 

Principes de bien-être au travail

Les approches de prévention de risque professionnel consistent à éviter les risques au travail, ou l’inévitabilité dont ils sont dangereux. Prise en compte de risque à la source, autant que possible de la situation dangereuse grâce au développement de la technique. Privilégier les dispositions de prévention collective aux mesures personnelles. Adaptez le travail aux employés et fournissez-leur les bonnes personnes. Planifier la prévention au travail par des différentes techniques relatives aux conditions de travail avec réflexion. Le concept de bonheur au travail est une notion plus large que les concepts de santé et de bien-être. Il fait référence à une impression générale de satisfaction à l’égard de l’élévation dans et par le métier qui va au-delà de l’absence à la santé. Le bonheur met l’accent sur la conscience individuelle et situationnelle et les limites dans le domaine professionnel. Les implications de ces faits sont, pour les personnes, physiques, émotionnelles, psychologiques et psychosociales et conduisent à un certain niveau de performance pour l’entreprise. En ce qui concerne le bien-être au travail, c’est conseillé d’améliorer toutes les conditions de travail.

Organisation de prévention

L’employeur doit organiser au sein de l’entreprise des traitements d’urgence pour les travailleurs victimes de maladies professionnelles ou d’accidents du travail. En l’absence d’une infirmière permanente, il doit demander au service du travail de déterminer les mesures nécessaires. L’organisation des premiers secours comprend : la mise en place d’alarmes afin d’alerter les secouristes sur le lieu de travail et l’installation des équipements adaptés. La mise en place d’un guide accessible à l’inspecteur du travail et à tous les salariés pour revoir les comportements à adopter en cas d’urgence. Dans le cas de maladie professionnelle ou d’accident du travail, un salarié peut pointer du doigt une erreur injustifiée de la part de l’employeur, qui a le potentiel de représenter un risque financier injustifié. La faute d’un commerçant ne peut être invoquée au cas où : il a connaissance ou peut prévoir un risque sur la base du seul document valable d’évaluation des risques au travail disponible au moment de l’accident ou du début de la maladie. Les précautions contre les risques professionnels prises sur la base de ce dossier unique n’étaient pas suffisantes à l’époque.

Dans la vie, il faut travailler pour gagner de l’argent, mais avant tout, il faut rester en bonne santé. Le comble, c’est que beaucoup de travailleurs risquent gros lors qu’ils travaillent. Il y a la fatigue, les risques de la sédentarité, etc. Il est toutefois possible de rectifier cela. Vous pouvez par exemple limiter les dangers que vous courrez au travail en utilisant un bureau assis debout que vous pourrez acheter en ligne.

Les différentes sortes de bureau assis debout

Après les bureaux assis et les bureaux debout, il y a maintenant les modèles assis debout. Parmi les modèles existants, il y a les convertisseurs de bureau. Il ne s’agit pas vraiment de bureaux, mais plutôt de compléments. Un convertisseur permet d’élever la hauteur du bureau à l’aide d’un système articulé au niveau des pieds. Avec ce genre de modèle, vous n’aurez pas besoin de changer de bureau ou d’en acheter un nouveau. Outre le convertisseur, il y a le bureau réglable.

C’est un mobilier classique, mais il peut être réglé en hauteur. Il peut donc être élevé ou abaissé suivant les besoins. Ce genre de bureau est accessible facilement en ligne. Il suffit de consulter un site spécialisé. Vous pourrez en suite visiter le haut de page du site choisi pour accéder aux différentes sortes de bureaux assis debout disponibles. Il ne restera plus qu’à faire votre choix et à commander.

Les avantages des bureaux assis debout

Les bureaux assis/debout permettent d’éviter les risques de la sédentarité. Vu qu’ils sont réglables, vous pourrez donc bouger facilement au travail. Vous pourrez également changer de position régulièrement. En plus, il vous sera possible d’ajuster la hauteur de votre bureau pour votre confort, mais aussi pour adopter une bonne posture. Les spécialistes indiquent que le fait de rester assis ou travailler debout sans bouger réduit l’espérance de vie. Cela peut même conduire à une crise cardiaque chez certaines personnes.

Avec un bureau assis debout donc, vous pourrez facilement éviter cela. Quand vous êtes fatigué de votre position assise, vous pouvez régler le bureau en le transformant en bureau debout sans que cela ralentisse votre production. Outre ces points, avec un bureau assis debout, vous pouvez adopter la posture conseillée par les médecins (bras pliés à 90°, poignées alignées, etc.). Vu l’importance d’un bureau assis debout, il est maintenant facile d’en trouver un. Il suffit de visiter les sites spécialisés en ligne. Les modèles proposés sont nombreux. Vous aurez donc largement le choix. Mais avant, il faut savoir choisir.

Comment choisir un bureau assis debout ?

Vous devez tout d’abord choisir suivant la surface de travail. Elle dépend de votre activité et de vos besoins. Ensuite, il y a le réglage de la hauteur. Quelle amplitude maximale ? Quelle vitesse de réglage ?. Pour bien choisir, pensez à l’ergonomie et prenez également en compte la hauteur dont vous aurez besoin. À part la surface de travail et la hauteur, il y a la charge maximale supportée. Là également, le choix dépendra de votre activité et de vos besoins. Même si vous n’utilisez qu’un simple écran et quelques portes-dossiers sur votre bureau, sachez qu’ils peuvent peser lourd. Si le poids ne correspond pas à la charge maximale supportée par le bureau assis debout, il y a un risque d’instabilité, voire de dommages considérables.

Avant de choisir donc, listez ce que vous utilisez sur votre bureau et calculez le poids de vos affaires. Choisissez par la suite le bureau assis debout suivant sa capacité de charge. Enfin, il y a le mécanisme. Vous aurez le choix entre manuel (le plus fréquent) et électrique. Le mécanisme manuel se fait à l’aide d’une manivelle en général. L’avantage, c’est que vous n’aurez pas besoin d’une source d’alimentation électrique pour régler votre bureau. Cependant, vous allez dépenser de l’énergie. Le mécanisme électrique se branche sur une prise électrique. Il suffit d’appuyer sur un bouton pour régler la hauteur. Certains modèles disposent même de fonctionnalités diverses. Mais c’est un bureau assis debout qui ne fonctionnera qu’avec du courant. En plus, ce genre de modèle peut parfois être onéreux.

concernent tous les secteurs d’activité et ce problème grandissant est pris très au sérieux. Des outils et des dispositifs existent afin de révéler et résoudre les difficultés rencontrées par les travailleurs.

Des facteurs de risques variés

Une évaluation des risques professionnels efficace se base sur des critères définis par des spécialistes qualifiés. Le stress, qu’il soit aigu ou chronique, est un signal d’alerte. Il révèle une inadéquation entre les contraintes liées au travail et la capacité qu’a le salarié d’y faire face. Dans un cas, il peut n’être que ponctuel (mais néanmoins problématique) et dans l’autre, il met en péril la santé de la personne qui le subit. Les situations de harcèlement, moral voire sexuel entrent dans la catégorie de la violence interne au travail, idem pour les agressions verbales entre collègues. La violence est qualifiée d’externe quand elle provient d’éléments extérieurs à l’entreprise qui ciblent les salariés de celle-ci. Tous ces sujets graves peuvent se cumuler ou se succéder en « cascade ». À cet égard, tout dirigeant d’entreprise a une responsabilité pour prévenir ces situations en amont. Depuis le 7 novembre 2002, il est tenu légalement de transmettre ce qu’on appelle le document unique. Pour s’acquitter au mieux de cette formalité essentielle, les employeurs peuvent se connecter sur www.aviseconseil.com. Ils y trouveront tous les renseignements nécessaires.

Des causes multiples et décisives

De nombreux facteurs peuvent favoriser les risques psychosociaux au travail. Certains relèvent des individus (en tant que travailleurs) et d’autres s’avèrent en lien avec l’organisation de la société concernée. Plus précisément, le contenu du travail peut être en cause. Les exigences en termes d’autonomie (trop ou trop peu), de vigilance sont pointées du doigt par les spécialistes du sujet. Les ordres contradictoires ont également un effet délétère sur l’organisation du travail. Certaines contraintes émotionnelles pèsent aussi sur les salariés comme dans certains emplois, l’obligation de se confronter à des situations bouleversantes. Les risques psychosociaux en entreprise incluent aussi les relations de travail dysfonctionnelles, avec les collègues et (ou) les supérieurs. Le manque de gratitude humaine ou salariale entre dans cette catégorie. Les conditions de travail du point de vue du cadre et de l’atmosphère sont prises en considération. Cela englobe le bruit sur place, la disposition en « open space » et la luminosité des postes de travail au sens large. L’absence de prise en considération des attentes des salariés de la part des employeurs influe aussi sur leur équilibre.

Un outil d’évaluation bien conçu

Un décret du 5 novembre 2001 encadre la création du document unique de sécurité. Ce dernier permet à un employeur de faire part des résultats de l’estimation des risques réalisée dans son entreprise. Cette évaluation nécessite de contacter les délégués du personnel, le médecin et l’inspection du travail. Ce document unique d’évaluation des risques ou duerp doit faire un état des lieux des risques reconnus. Il inclut un classement mais aussi une mise en place prévisionnelle d’actions proactives qui peuvent réduire ou supprimer les risques identifiés. Des consultants spécialisés aident les employeurs à rédiger ce document. La CRAM (caisse régionale d’assurance maladie), les syndicats ou organismes de vérification peuvent également remplir cette mission. Outre la santé des salariés, les risques psychosociaux perturbent la bonne marche de l’entreprise. Le taux d’absentéisme augmente, entraînant un turn-over pouvant poser de nombreux problèmes. La démotivation des salariés entraîne des difficultés d’organisation au sein des entreprises avec bien sûr, un impact économique à la clé. De leur côté, les salariés victimes de ces conditions de travail inadaptées souffrent de troubles physiques aussi bien que mentaux.

Une solution pour les employés

Les risques psychosociaux ne sont pas une fatalité et des mesures ont été prises afin de protéger les salariés. Le compte professionnel de prévention définit et classifie les risques psychosociaux au travail à titre individuel. Selon son seuil d’exposition à ces périls professionnels, le salarié accumule des points sur son C2P. Ce dernier est cependant réservé aux travailleurs du secteur privé. Il faut également être affilié au régime de la sécurité sociale. Le contrat de travail du salarié concerné doit dépasser un mois. Il est également nécessaire d’être exposé à (au moins) un élément de pénibilité. Ce compte, avec sa réserve de points à constituer en fonction des risques que l’on encourt en tant que travailleur, a plusieurs effets bénéfiques. Le salarié peut suivre une formation afin d’obtenir un poste avec une moindre pénibilité. Il a aussi la possibilité de profiter d’un temps partiel tout en conservant l’intégralité de son salaire. Le départ en retraite est possible dans certains cas, grâce à la validation des trimestres majorés. Il est donc judicieux de se renseigner sur ce C2P à titre personnel.


Quand il s’agit de travaux de manutention, l’exosquelette entreprise représente une alternative efficace afin de combattre les TMS (troubles musculo-squelettiques). Toutefois, pourquoi opter pour un exosquelette d’aide à la manutention ? Lisez cet article !

Une petite piqûre de rappel sur l’exosquelette

Un exosquelette, dit également « squelette externe », aide l’opérateur dans certains travaux. Cela peut rendre ses conditions professionnelles et ses postures meilleures tout en limitant le danger des troubles consécutifs aux traumas cumulatifs. Il équilibre les efforts des opérateurs et limite la contrainte physique. Concernant maintenant l’usage de l’exosquelette, ce dernier autorise l’opérateur à porter facilement des charges et à faciliter les tâches journalières.

Actuellement, il existe 2 catégories d’exosquelettes d’aide à la manutention : les exosquelettes passifs et actifs. Ces derniers sont des équipements à moteurs qui exigent une batterie. Cette catégorie est si chère qu’elle ne peut pas être industrialisée pour le moment. Ils sont réservés à la fois à la communauté médicale et à la recherche. Les exosquelettes passifs, quant à eux, sont dotés de ressorts mécaniques, communément des lames en carbone. L’aide qu’ils apportent contribue à lutter contre la gravité et a été totalement appliquée à toutes les opérations qu’il s’agisse à la fois d’un port d’outils portables et de manutention manuelle. Si vous voulez avoir davantage d’information sur l’exosquelette ainsi que ses rôles dans l’entreprise, vous n’avez qu’à visiter le site comme www.rb3d.com.

Pourquoi opter pour un exosquelette d’aide à la manutention ?

Il y a un grand avantage offert par les utilisations d’exosquelette manutention et de robots cobots notamment en France. L’équipe Afnor exosquelettes et l’INRS (‘Institut national de recherche et de sécurité) travaillent sur la thématique en partenariat avec les sociétés. Ces derniers ont un intérêt particulier dans les domaines des travaux publics / génie civil5, de l’aérospatiale et de la voiture.

En ce qui concerne les applications pour l’entreprise, un bon nombre d’industries mène des recherches ou des tests axés sur une variété de tâches. Concernant l’aide physique aux salariés en charge de la manutention de charge, il existe aujourd’hui de nombreuses entreprises françaises comme Exhauss. Ce dernier produit une gamme d’exosquelettes porteurs que vous pourrez manipuler à partir de 2013. Fondée en 2017, l’entreprise française « Human Mechanical Technologies » est spécialisée dans l’élaboration, dans la création et dans l’adaptation d’alternatives d’exosquelette. La société « Japet Médical » développe et accompagne les industries dans l’insertion de l’exosquelette rachidien.

Opter pour un exosquelette : examinez votre environnement

Avant d’acheter, l’entreprise a besoin d’un véritable processus pour acquérir un exosquelette manutention et de robot collaboratif. Dans la pratique, vous devez vous poser quelques questions : pourquoi devriez-vous aller vers une telle alternative ? Comment l’insérer dans votre société ? Après,  il sera fortement recommandé de rédiger un cahier des charges. Ce dernier doit garantir que la mise en œuvre repose sur un processus participatif mené avec l’ensemble des parties concernées comme les services d’hygiène et de sécurité, les instances de représentation du personnel, la direction, etc. Il est alors vivement conseillé de garantir que l’aménagement a été mis en application et que le dernier utilisateur soit réellement écouté. Il peut y avoir des paramètres particuliers qui doivent être intégrés au type de support physique. D’une part, il faut toujours garder à l’esprit que chaque collaborateur dispose d’une morphologie distincte. En revanche, si l’opérateur emploie son exosquelette et cobot rb3d pendant 10 minutes, de nombreuses fois par jour, l’équipement doit pouvoir se monter et se décoller rapidement. Afin de familiariser l’employé concerné avec le produit, il est également nécessaire d’imaginer un temps d’adaptation à l’extérieur de l’activité professionnelle. Bref, il faut veiller à ce que l’équipement d’un employé n’affecte pas ses relations avec ses collaborateurs.

Dans l’optique d’éviter les risques liés aux métiers de manutention, les travailleurs sont invités à adopter les bons gestes et postures de manutention.

En réalité, les travaux de manutention sont à la base de plusieurs accidents dans les entreprises. Ces événements malheureux surviennent en effet fréquemment dans les secteurs comme ceux du transport, de la logistique ou encore du BTP.

Les multiples accidents enregistrés dans ces entreprises sont généralement causés par des mauvais mouvements effectués lors des travaux de manutention. La maitrise des bons gestes et postures de manutention constitue donc le meilleur moyen pour éviter ces accidents de travail.

Les dangers et risques liés à la manutention

La manutention, qu’elle soit manuelle ou mécanique peut entraîner plusieurs accidents causés par des postures incorrectes, ou de mauvais gestes.

Ces accidents engendrent souvent des blessures de nature musculo-squelettiques. Elles touchent généralement le dos et peuvent être simultanées ou cumulatives.

Les blessures instantanées

Une chute ou un mouvement brusque pour éviter qu’un colis ou un objet tombe peut causer une blessure. Dans ce cas, il s’agit d’un accident (évènement soudain et imprévu causant des dégâts) et la blessure intervient de façon instantanée.

Les blessures cumulatives

Les cas de fatigue et d’usure peuvent également entraîner des blessures. Une forte sollicitation du dos ou des membres en situation de manque de repos de même que des mouvements qui obligent à adopter des postures inconfortables peuvent progressivement déclencher des lésions.

Neo Forma : spécialiste des formations en gestes et postures de manutention aide les entreprises à faire face à leurs obligations légales en matière de formation. Il propose des programmes adaptés à leurs besoins. Lesdites formations sont assurées par des ostéopathes expérimentés dans la prévention des risques physiques en entreprise.

Les réglementations et les normes en vigueur en matière de manutention

De nombreuses normes encadrent les travaux de manutention afin d’assurer aux travailleurs des conditions de travail sécurisées.

La manutention mécanique est plus recommandée au détriment de la manutention manuelle, car elle permet d’éviter certains risques d’accidents ou de blessures. Toutefois, le Code du Travail en France prévoit les conditions ci-après :

·         La limite maximale des charges que peut porter un travailleur est de 55kg ;

·         Pour les charges dépassant 55kg, l’aptitude du travailleur à assumer régulièrement ces charges doit être reconnue par un médecin ;

·         Les femmes et les jeunes travailleurs ne peuvent pas porter des charges dépassant 25kg ;

·         L’entreprise ou l’établissement doit assurer les adaptations ergonomiques nécessaires, fournir le matériel adéquat aux travailleurs et surtout les former aux bons gestes et postures de manutention.

Plus d’infos sur les risques liés à la manutention ici.

Gestes et postures de manutention : Quelques règles de sécurité

En principe, il n’existe pas qu’une seule bonne manière de soulever des charges. Avec l’expérience, le travailleur peut développer des habitudes qui lui permettent de soulever des charges en toute sécurité, sans avoir à se plier nécessairement aux procédures ergonomiques imposées.

Toutefois, il existe certaines règles de sécurités qui encadrent la manutention (manuelle). Ces différentes règles permettent aux travailleurs d’adopter des gestes et postures de manutention sans risques.

La réflexion avant action

Avant de soulever une charge, il est important de penser à la meilleure posture qui permet de protéger le dos. Les gestes et les mouvements à réaliser doivent être adaptés à la situation.

La réduction des pressions

Le risque de blessure lié aux soulèvements de charges dépend fortement des pressions exercées sur la colonne vertébrale. Il faut donc veiller à réduire le plus possible ces pressions.

L’alignement postural

Pour réduire les pressions exercées sur la colonne vertébrale, il est important de rapprocher la charge de la colonne vertébrale. Lors de la saisie et du dépôt d’une charge par exemple, il faut que les pieds, les hanches, les épaules et les yeux soient orientés vers la charge.

L’équilibre corporel

Lors du soulèvement d’une charge, il faut garder le corps en équilibre afin que celui-ci aide à réduire la charge. Il faut respecter la courbure naturelle de la colonne vertébrale, aligner la tête, le dos et les épaules et solliciter beaucoup plus les jambes que le dos.

Une formation et de bonnes conditions de travail

Les accidents liés à la manutention peuvent avoir de lourdes répercussions sur la santé du travailleur. C’est pour cela que la loi oblige les entreprises à assurer une bonne formation et de bonnes conditions ergonomiques à leurs travailleurs. Il en va d’ailleurs de l’intérêt des travailleurs et des entreprises.

En mettant en place des formations sur les gestes et postures de manutention à l’attention de leurs employés, les dirigeants d’entreprise pourront transformer les contraintes réglementaires en de véritables opportunités pour leurs activités.

Penser à la sécurité d’une prestation de qualité tout en respectant la juridiction et la déontologie, tels sont les objectifs et les priorités de la contre-visite médicale. En effet, une législation en vigueur sert d’appui à cette prestation qui est devenue une démarche tout à fait légitime. Il s’ensuit que l’employeur est tenu toujours de maintenir la rémunération du salarié qui s’absente légalement au terme d’une visite médicale. Un guide en ligne promet de faire mieux grâce à une simple et rapide intervention.

Comment se déroule une contre-visite médicale ?

En principe, les textes de loi sont nombreux en ce qui concerne les conditions de l’arrêt de travail. La plupart du temps, tout est question d’obligation ou de droit dont employeur et salariés peuvent profiter. Les conseils en ligne précisent que la contre-visite est un contrôle et doit se faire au domicile élu de l’employé. Cette adresse physique est transmise au médecin traitant pour compléter le dossier sur l’absence motivée du travailleur. Celui-ci doit normalement se trouver aux lieux et endroits indiqués au moment du contrôle inopiné et suivant des horaires prescrits. L’entreprise n’est pas avisée sur l’existence de l’accord d’une caisse d assurance. En outre, le médecin peut prescrire ce qu’on appelle des sorties libres. Pour cela, le salarié est informé d’une éventuelle contre-visite. Le concerné doit toujours aviser le personnel médical qui se charge du contrôle en cas de changement de domicile ou de lieu de résidence. L’entreprise doit être mise au courant de cette situation pendant l’arrêt de travail. Le contrôle est justifié s’il est effectué par un médecin mandaté par l’entreprise. Aucun refus ne doit être autorisé. Par contre, si le mandat de l’employeur fait défaut, la contre-visite ne peut pas avoir lieu. Quoi qu’il en soit, il est tout à fait possible de mandater un prestataire en ligne comme www.mediverif.fr pour mandater un tel service de suivi.

Le prestataire de la contre-visite médicale

Car c’est la loi qui régit la situation d’arrêt de travail, on fait appel à des professionnels expérimentés et qualifiés. Un prestataire reconnu compétent pour avoir exercé la profession dans un cadre légal peut effectuer la contre-visite. La neutralité et l’impartialité sont les maîtres-mots de cette action et elles sont logiquement exigées par la loi. Si l’entreprise garantit le travail du contrôleur, elle fait une demande en ligne.

L’entreprise est libre de faire son choix sur l’entité qui exerce la contre-visite. La liste des experts lui offre un large choix ou bien c’est le salarié lui-même qui est à l’origine de la demande. Il se peut que ce soit un praticien qui devient le contrôleur d’après l’accord de la convention collective. Les indemnités complémentaires sont toujours versées au travailleur si le médecin mandaté n’a pas les qualités nécessaires à la prestation. Dans ce cas, le refus peut avoir lieu.

Qu’en est-il de la situation postérieure à la contre-visite ?

Que ce soit pour l’employeur ou pour l’employé, vous pouvez distinguer diverses possibilités. Pour ce qui est du cas de l’entreprise, l’arrêt de travail est effectif si le contrôleur professionnel constate sa validité. Il est également valable même si le salarié ne se trouve pas à son domicile et que cette absence est justifiée avant qu’il ne rejoigne son lieu de travail. Par contre, pour ce qui est de l’arrêt de travail non justifié, la contre-visite médicale obtient gain de cause. Ainsi, le médecin traitant en informe l’entreprise qui rédige un rapport à l’attention de la caisse d assurance pour qu’aucun paiement de salaire ne soit plus effectué. Toutefois, le remboursement ne peut pas être réclamé pour des paiements antérieurs au contrôle. Le salarié est confronté, de son côté, à une situation dans laquelle le médecin constate son absence du domicile légal. Cette situation a des conséquences pour le salarié qui est informé de la suspension des indemnités complémentaires. Dans ce sens, la compagnie d’assurance est habilitée pour confirmer en ligne que le travailleur peut reprendre son travail.